¡Culture et histoire combinées!
Implantée à 200 km de la capitale Tunis, Mahdia est une ville littorale qui a connu pendant les dernières décennies un véritable épanouissement touristique. Toutefois, la ville a su conserver son charme d’antan, proposant à chaque venelle une immersion historique dans les époques ottomanes ou fatimides.
Mahdia est en réalité excentrée sur une saillie littorale, par rapport à l’autoroute Sousse-Sfax. Jadis baptisée le Cap d’Afrique « Cap Africa », elle était construite sur une presqu’île, de 1 400 mètres de long et 500 mètres de large, transformée en quartier, Borj Erass, qui abrite actuellement les familles de marins-pêcheurs, et constitue le réel centre d’intérêt de la cité, avec la médina.
Ville au passé prestigieux, Mahdia construite à fleur d’écueil sur une péninsule avait été la première capitale des souverains fatimides au Xe siècle. Son charme, elle le doit à sa mer limpide à la couleur de saphir, à ses belles plages de sable raffiné, à sa vieille-ville et à son animation de petite cité traditionnelle, celle de pêcheurs et de tisseurs de soie.
La mer Méditerranéenne caresse doucement les bateaux du port de Mahdia, alors que les habitants se laissent aller aux rayons solaires à la plage. L’interminable côte de sable scintillant captive chaque année une infinité de visiteurs qui viennent trouver de nouvelles forces et se divertir dans ses nombreux hôtels luxueux.
Aujourd’hui, la ville de Mahdia est une ville touristique par excellence. Ses hôtels et la beauté de son littoral font de cette cité une destination qui ne laisse pas insensible un grand nombre de touristes en quête de sérénité. En plus, la ville de Mahdia enfouit de véritables trésors archéologiques qui méritent d’être explorés à l’image des vestiges qui datent de l’ère romaine et jusqu’à l’arrivée des Arabes.
¡Culture et histoire combinées!
Implantée à 200 km de la capitale Tunis, Mahdia est une ville littorale qui a connu pendant les dernières décennies un véritable épanouissement touristique. Toutefois, la ville a su conserver son charme d’antan, proposant à chaque venelle une immersion historique dans les époques ottomanes ou fatimides.
Mahdia est en réalité excentrée sur une saillie littorale, par rapport à l’autoroute Sousse-Sfax. Jadis baptisée le Cap d’Afrique « Cap Africa », elle était construite sur une presqu’île, de 1 400 mètres de long et 500 mètres de large, transformée en quartier, Borj Erass, qui abrite actuellement les familles de marins-pêcheurs, et constitue le réel centre d’intérêt de la cité, avec la médina.
Ville au passé prestigieux, Mahdia construite à fleur d’écueil sur une péninsule avait été la première capitale des souverains fatimides au Xe siècle. Son charme, elle le doit à sa mer limpide à la couleur de saphir, à ses belles plages de sable raffiné, à sa vieille-ville et à son animation de petite cité traditionnelle, celle de pêcheurs et de tisseurs de soie.
La mer Méditerranéenne caresse doucement les bateaux du port de Mahdia, alors que les habitants se laissent aller aux rayons solaires à la plage. L’interminable côte de sable scintillant captive chaque année une infinité de visiteurs qui viennent trouver de nouvelles forces et se divertir dans ses nombreux hôtels luxueux.
Aujourd’hui, la ville de Mahdia est une ville touristique par excellence. Ses hôtels et la beauté de son littoral font de cette cité une destination qui ne laisse pas insensible un grand nombre de touristes en quête de sérénité. En plus, la ville de Mahdia enfouit de véritables trésors archéologiques qui méritent d’être explorés à l’image des vestiges qui datent de l’ère romaine et jusqu’à l’arrivée des Arabes.
¡Culture et histoire combinées!
Implantée à 200 km de la capitale Tunis, Mahdia est une ville littorale qui a connu pendant les dernières décennies un véritable épanouissement touristique. Toutefois, la ville a su conserver son charme d’antan, proposant à chaque venelle une immersion historique dans les époques ottomanes ou fatimides.
Mahdia est en réalité excentrée sur une saillie littorale, par rapport à l’autoroute Sousse-Sfax. Jadis baptisée le Cap d’Afrique « Cap Africa », elle était construite sur une presqu’île, de 1 400 mètres de long et 500 mètres de large, transformée en quartier, Borj Erass, qui abrite actuellement les familles de marins-pêcheurs, et constitue le réel centre d’intérêt de la cité, avec la médina.
Ville au passé prestigieux, Mahdia construite à fleur d’écueil sur une péninsule avait été la première capitale des souverains fatimides au Xe siècle. Son charme, elle le doit à sa mer limpide à la couleur de saphir, à ses belles plages de sable raffiné, à sa vieille-ville et à son animation de petite cité traditionnelle, celle de pêcheurs et de tisseurs de soie.
La mer Méditerranéenne caresse doucement les bateaux du port de Mahdia, alors que les habitants se laissent aller aux rayons solaires à la plage. L’interminable côte de sable scintillant captive chaque année une infinité de visiteurs qui viennent trouver de nouvelles forces et se divertir dans ses nombreux hôtels luxueux.
Aujourd’hui, la ville de Mahdia est une ville touristique par excellence. Ses hôtels et la beauté de son littoral font de cette cité une destination qui ne laisse pas insensible un grand nombre de touristes en quête de sérénité. En plus, la ville de Mahdia enfouit de véritables trésors archéologiques qui méritent d’être explorés à l’image des vestiges qui datent de l’ère romaine et jusqu’à l’arrivée des Arabes.
La Mahdia ouverte à un tourisme responsable
Mahdia est empreinte du charme propre aux villes côtières. Son port de pêche, l’un des plus considérable de Tunisie, est particulièrement connu pour la pêche au lamparo (une lampe puissante à acétylène qu’on attache à l’avant d’un bateau) qui compose, les soirs d’été, au départ des bateaux, un festival féerique d’images et de lumières, qui donne à la mer et au port de Mahdia une dimension fantastique.
1. La Skifa Kahla ou Bab Zouila
La ville de Mahdia est parsemée de monuments qui restent témoins de son histoire.
La Skifa Kahla ou Bab Zouila est une volumineuse porte renforcée qui date du début du dixième siècle. Elle est toujours l’un des rares points pour accéder au cœur historique de la cité et l’un des rarissimes vestiges des antiques remparts.
2. Plongée sous-marine
Les passionnés de plongée sous-marine ne seront pas déçus devant le spectacle fascinant des fonds de Mahdia, avec en mémoire la légendaire épave archéologique visitée il y a quelque temps par le Commandant Cousteau.
3. La Grande Mosquée Bordj El Kébir
La Grande Mosquée Bordj El Kébir est un autre monument historique qui fut édifié en 916 par le chiite Ubayd Allah al-Mahdi. Cette mosquée qui était assez particulière, car elle était sans minaret, connut par la suite différentes transformations et restaurations pour être en définitive reconstituée entre 1961 et 1965 selon les plans du Xe siècle.
4. Vie intellectuelle et artistique
La ville de Mahdia avait connu une vie intellectuelle et artistique qui l’avait marquée. Toutefois, les Fatimides, ébranlés, épuisés par les révoltes et les rebellions internes, finirent par se réfugier en Égypte et là, ils fondirent Le Caire en 973.
5. La pêche
La ville de Mahdia avait été aussi la scène de différentes épopées avec les invasions des Normands de Sicile, des Génois, des Chevaliers de Malte puis des Espagnols, avant de recouvrer une certaine stabilité.
Grâce à un repeuplement régulier d’Andalous, d’Anatoliens et de pêcheurs siciliens, la ville s’est imprégnée jusqu’à maintenant d’une grande richesse de cultures et de traditions.
L’économie de Mahdia
Le tourisme, la pêche et l’huile d’olive
Actuellement, la ville est axée sur le tourisme, la pêche et la production d’huile d’olive. Le port de pêche a une forte activité et possède ses propres conserveries pour le poisson.
La ville productrice d’huile d’olive et de savon
La ville, implantée à l’est d’une immense oliveraie, héberge des huileries qui produisent l’huile d’olive et également le savon constitué essentiellement de 72 % d’huile d’olive.
Mahdia, la ville du tissage et de l’artisanat
Mahdia, une ville renommée pour son expertise en matière de tissage de laine et pour son activité artisanale variée
La gastronomie
Ces plats qui nous viennent directement de Mahdia.
La Bondleka
Il s’agit d’un plat printanier concocté spécifiquement à Mahdia, mais aussi dans différentes régions tunisiennes. Le constituant essentiel est une plante sauvage qu’on connaît peu appelée Blibcha ou Bondleka. En français, on parle de pourpier potager (Portulaca oleracea), qui appartient à la Famille des Portulacées, et se caractérise par son goût en même temps doux et légèrement acide.
Le plat est donc un ragoût dont le constituant essentiel est cette plante cuite dans l’eau avec des lentilles et des fèves. La sauce se compose d’oignons sués dans l’huile avec une tomate et des portions de viande séchée « kaddid », auquel on ajoute un concentré de tomate, de la harissa, de l’ail broyé et des poivrons verts. Le tout est par la suite poivré et pimenté. La Bondleka sera servie avec des œufs au plat, des piments et des poivrons cuits dans la friture.
La Khobbiza
C’est un mets essentiellement tunisien. Les ingrédients de base sont 2 ou 3 bottes de mauve « khobiza », qui, une fois nettoyées, seront hachées et cuites à la vapeur. En fait, la khobiza se trouve dans les champs au nord du pays.
Dans un autre ustensile, on ajoute un filet d’huile d’olive, de la harissa faite maison, de l’ail écrasé, du sel, du carvi et de la coriandre. Le tout sera mijoté à feu doux et ensuite, on rajoute la Khobbiza et on laisse mitonner tout en remuant durant quelques minutes jusqu’à ce que les ingrédients adhèrent parfaitement et que la mixture atteigne une certaine fermeté homogène et relativement sèche.
Chebtia ou boulettes d’aneth « Shit »
Ces boulettes, une invention purement tunisienne, se consomment accompagnées d’une sauce tomate ou alors elles sont utilisées pour agrémenter un couscous.
Elles sont préparées à partir d’aneth, de persil plat et d’épinard hachés finement, de semoule moyenne et de viande coupées en petits morceaux.
Ces ingrédients sont assaisonnés avec du paprika et de la harissa. On fait frire les boulettes dans un bain d’huile à feu doux, puis vous pouvez les savourer seules avec une sauce ou un avec appétissant couscous. Le « Shit » est une plante aromatique possédant une saveur et un arôme semblables à ceux de l’anis. L’aneth a différentes vertus thérapeutiques. Il est parfait, par exemple, pour soulager les troubles digestifs, les ballonnements, et même la fatigue nerveuse.
En savoir un peu plus
La Grande Mosquée Bordj El Kébir
Monument historique qui fut édifié en 916 par le chiite Ubayd Allah al-Mahdi
En savoir un peu plus
La Grande Mosquée Bordj El Kébir
Monument historique qui fut édifié en 916 par le chiite Ubayd Allah al-Mahdi